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Le storytelling a beaucoup évolué cette dernière décennie. C’est normal puisqu’il s’est adapté à l’évolution du marketing, lui-même ayant dû s’adapter aux nouveaux supports de communication, principalement digitaux.

Ainsi, la communication ne se fait plus vraiment du haut vers le bas, d’une marque vers un groupe de consommateurs. Pour séduire, on embarque tout le monde, on choisit l’interaction, le partage, voire la création ensemble, oui, avec les consommateurs.

Imaginez un arbre avec des branches récentes issues du storytelling :

    • STORYDOING
    • STORYBUILDING
    • STORYMAKING
    • STORYTHINKING
    • STORYSCROLLING
    • STORYLIVING
    • TRANSMÉDIA
    • STORYACTING par extension, avec la réalité virtuelle (VR)

La forme et le mode de diffusion, autant de choix à faire et à paramétrer.

Quant au storytelling proprement dit, c’est-à-dire la création et le partage d’un récit, il existe différentes approches.
De la plus simple histoire unique et liénaire, en passant par un storytelling sous forme d’épisodes délivrés régulièrement, une série donc, ou encore plusieurs récits construits autour d’un même sujet appelé alors storytelling séquentiel.

Attention cependant, pour la narration séquentielle, contrairement à celle de d’une bande dessinée dont chaque page sont regroupées au sein d’un même support, en storytelling digital sur le mode séquentiel, l’approche est d’avoir différents récits autour du même thème et qui seront diffusés différemment selon des supports et des formes spécifiques. Cette technique est peu répandue, bien qu’efficace, car elle est plus longue à mettre en place, plus contraignante et forcément plus coûteuse.

Mais quelle que soit la forme, souvenez-vous que le contenu reste le tronc (le socle) et l’histoire en est la sève !

Bonus : design-thinking-et-storytelling