Mon éthique

Ma démarche est de ne jamais dévier de la vérité et du sens. En effet, pas question de confondre l’idée de raconter des histoires avec celle de « raconter des salades » : c’est le risque et malheureusement parfois le cas, notamment chez certaines grandes entreprises qui ont besoin de redorer leur image.

Par conséquent, si un client me demande de construire sa communication par le récit sur la base d’une fausse information, je le prie de passer son chemin en lui expliquant que non seulement il n’est pas question de mentir, mais que cela se révèlerait de toute façon contre-productif sur le plan de sa crédibilité.

Storytelling politique / spin doctor : souhaitant garder une neutralité, et bien que cela m’a été demandé, je n’interviens pas pour des discours politiques ou du conseil, quelle que soit la couleur d’un mouvement.


Enfin, et de part ma conscience écologique riche d’au moins quatre décennies, je privilégie les demandeurs dont le profil, l’activité, la démarche, l’impact – bref, le positionnement –, entrent si possible dans un rapport respectueux de la planète, et/ouu à caractère social et culturel.

Autrement dit, des vendeurs de voitures polluantes (actuellement toujours un pléonasme malgré les hybrides), de gadgets made in China ou de produits/services absolument inutiles ne compteront pas sur mes idées et ma plume, que je ne pourrais pas faire fonctionner de manière sincère.